13 juin
Nous profitons des charmes de notre hôtel à Banyuwangi toute la matinée
A midi, le chauffeur de l'hôtel nous conduit à la gare maritime où nous embarquons sur un ferry pour Bali. La traversée dure une heure.
En débarquant sur l’île des dieux, nous avançons nos montres d'une heure (France + 6)
Arrivée à Gilimanuk, commence l'enfer. Le chauffeur qui doit nous conduire à Sanur, distante de 130 km, est un kamikaze. La route est sinueuse, la circulation dense, le véhicule en mauvais état, dépourvu de ceintures de sécurité, les sièges et les amortisseurs très fatigués.
Le cauchemar dure près de 4 heures, les remarques d'Ivon, les profonds soupirs de Line n'y ont rien changées: dépassement dans les virages, en sommet de côte, par la gauche en prenant les bas côtés (ici on roule à gauche), franchissement des lignes blanches, téléphone au volant, nous avons évité le pire à plusieurs reprises.
Par miracle et surtout grâce aux excellents réflexes des conducteurs venant en sens opposé, nous arrivons entiers à Sanur. La nuit est tombée depuis presque une heure.
Les images du film "Taxi" se sont invitées chez chacun de nous, mais là, nous n'avons pas ri...enfin pas encore.
Pour ponctuer notre journée sur une note positive, en réservant deux studios au sein de la résidence "Sanur Art Villa", Line , une nouvelle fois, a effectué un excellent choix.
Les images du film "Taxi" se sont invitées chez chacun de nous, mais là, nous n'avons pas ri...enfin pas encore.
Pour ponctuer notre journée sur une note positive, en réservant deux studios au sein de la résidence "Sanur Art Villa", Line , une nouvelle fois, a effectué un excellent choix.
Pas cool...
RépondreSupprimerJe suis ravie que vous en ayez réchappé. Surtout croisons les doigts pour que ce circuit des dangers ne se présente qu'une seule fois !
RépondreSupprimerAurore